Roland Rosoux a pris une nouvelle fois la plume pour analyser concrètement les obligations en matière d’IPP 2023. Son érudition et son expérience (45 ans de métier) font de ce nouvel ouvrage un outil indispensable au contribuable et au professionnel du chiffre. Le millésime 2023 de la décla...
Roland Rosoux a pris une nouvelle fois la plume pour analyser concrètement les obligations en matière d’IPP 2023.
Son érudition et son expérience (45 ans de métier) font de ce nouvel ouvrage un outil indispensable au contribuable et au professionnel du chiffre.
Le millésime 2023 de la déclaration est aussi compliqué que les précédents, malgré les promesses répétées d’une simplification de la fiscalité.
Les modifications sont légion et la déclaration 2023 est impactée à différents et nombreux endroits par les mesures, pas toujours cohérentes, et à leur entrée en vigueur très fluctuante, dont certaines sont le reliquat des mesures prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie de COVID-19.
Parmi les principales nouveautés, on relève une nouvelle obligation pour les séparés de fait non encore divorcés, en matière de prise en charge d’une personne âgée de plus de 65 ans par un aidant proche, de coparenté fiscale, de crédit d’impôt pour enfants, de location d’un immeuble à une immobilière sociale, de déduction fédérale des intérêts, d’ATN chauffage et électricité, de rémunérations des pensionnés dans le secteur des soins, d’heures de relance, de travail supplémentaire avec sursalaire, de fiscalité des sportifs, de flexi-jobs, de budget mobilité et frais de logement proche du lieu de travail et prime pour piéton, de pensions des sportifs, de rentes alimentaires, de bornes de recharge, de frais de garde d’enfants, de travail associatif, d’exonération des indemnités attribuées aux contribuables victimes des conséquences économiques de la crise de l’énergie, de justification de certains frais professionnels, de répercussion des frais de voiture, des frais de restaurant, etc., de déduction pour investissement, de taxation étalée des subsides en capital, du forfait particulier de charges pour les accueillantes d’enfants autonomes, de quotité forfaitaire d’impôt étranger sur redevances, de crédit d’impôt pour l’augmentation de l’indemnité kilométrique forfaitaire pour déplacements de service et d’imposition des revenus de remplacement de conjoints aidants… absolument rien n’échappe à l’oeil averti de Roland Rosoux.
L’ensemble est commenté avec une pointe d’humour, mordant quand les dérives du fisc dénoncées par l’auteur sont trop criantes ou les réponses du ministre décevantes, voire fausses, parsemé de plusieurs centaines de jurisprudences nouvelles édifiantes, de questions parlementaires éclairantes et d’exemples concrets.
Un livre à mettre rapidement entre toutes les mains de ceux qui s’intéressent à cette matière complexe et contribuent, par leur travail, et leur impôt, au financement des services collectifs.
L'auteur
À la suite d’une longue carrière au sein des services centraux de l’administration de la fiscalité et de conciliateur fiscal, conseiller du ministre des Finances Didier Reynders pendant près de 12 ans, Roland ROSOUX a été le directeur scientifique de l’Ordre des Experts-Comptables et Comptables brevetés de Belgique, puis a rejoint l’association d’avocats fiscalistes LAW TAX, comme collaborateur scientifique. Il est par ailleurs toujours professeur à l’Ecole supérieure des Sciences fiscales (ESSF) et rédacteur en chef de la Lettre fiscale belge et de la Revue trimestrielle de fiscalité belge, éditées depuis 2006.
Son érudition et son expérience (45 ans de métier) font de ce nouvel ouvrage un outil indispensable au contribuable et au professionnel du chiffre.
Le millésime 2023 de la déclaration est aussi compliqué que les précédents, malgré les promesses répétées d’une simplification de la fiscalité.
Les modifications sont légion et la déclaration 2023 est impactée à différents et nombreux endroits par les mesures, pas toujours cohérentes, et à leur entrée en vigueur très fluctuante, dont certaines sont le reliquat des mesures prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie de COVID-19.
Parmi les principales nouveautés, on relève une nouvelle obligation pour les séparés de fait non encore divorcés, en matière de prise en charge d’une personne âgée de plus de 65 ans par un aidant proche, de coparenté fiscale, de crédit d’impôt pour enfants, de location d’un immeuble à une immobilière sociale, de déduction fédérale des intérêts, d’ATN chauffage et électricité, de rémunérations des pensionnés dans le secteur des soins, d’heures de relance, de travail supplémentaire avec sursalaire, de fiscalité des sportifs, de flexi-jobs, de budget mobilité et frais de logement proche du lieu de travail et prime pour piéton, de pensions des sportifs, de rentes alimentaires, de bornes de recharge, de frais de garde d’enfants, de travail associatif, d’exonération des indemnités attribuées aux contribuables victimes des conséquences économiques de la crise de l’énergie, de justification de certains frais professionnels, de répercussion des frais de voiture, des frais de restaurant, etc., de déduction pour investissement, de taxation étalée des subsides en capital, du forfait particulier de charges pour les accueillantes d’enfants autonomes, de quotité forfaitaire d’impôt étranger sur redevances, de crédit d’impôt pour l’augmentation de l’indemnité kilométrique forfaitaire pour déplacements de service et d’imposition des revenus de remplacement de conjoints aidants… absolument rien n’échappe à l’oeil averti de Roland Rosoux.
L’ensemble est commenté avec une pointe d’humour, mordant quand les dérives du fisc dénoncées par l’auteur sont trop criantes ou les réponses du ministre décevantes, voire fausses, parsemé de plusieurs centaines de jurisprudences nouvelles édifiantes, de questions parlementaires éclairantes et d’exemples concrets.
Un livre à mettre rapidement entre toutes les mains de ceux qui s’intéressent à cette matière complexe et contribuent, par leur travail, et leur impôt, au financement des services collectifs.
L'auteur
À la suite d’une longue carrière au sein des services centraux de l’administration de la fiscalité et de conciliateur fiscal, conseiller du ministre des Finances Didier Reynders pendant près de 12 ans, Roland ROSOUX a été le directeur scientifique de l’Ordre des Experts-Comptables et Comptables brevetés de Belgique, puis a rejoint l’association d’avocats fiscalistes LAW TAX, comme collaborateur scientifique. Il est par ailleurs toujours professeur à l’Ecole supérieure des Sciences fiscales (ESSF) et rédacteur en chef de la Lettre fiscale belge et de la Revue trimestrielle de fiscalité belge, éditées depuis 2006.